Ces derniers
temps, Eva Joly annonçait son désir de remplacer le siège de la France au
conseil des Nations Unies par un siège européen, projet qu’elle a su faire
accepter au Parti Socialiste, et ce sans prendre en considération l’intérêt
supérieur de son propre pays (pardon, l’un de ses deux pays), et en faisant fi
de l’incohérence d’une telle décision puisque le Royaume Uni a lui aussi un
siège. Pour justifier cet acte odieux, Eva Joly et ses sbires ont invoqué la
destinée de l’Europe et celle de la société Européenne qu’elle incarne.
Il ne s’agira
pas ici de laisser libre cours à mes soupçons à l’endroit de la personne de la
politicienne Eva Joly, que l’on sent si prompte à privilégier l’intérêt des 26
à celui de la France, et dont le messianisme vert, si caractéristique de cette
pulsion de mort païenne qui habite l’écologisme, donne l’impression qu’un tel
personnage est tout droit sorti des Démons
de Dostoïevski.